vendredi 20 avril 2012

Fruits Basket, Natsuki Takaya


Edition Delcourt 
205 pages

Synopsis

Tohru, mignonne et courageuse lycéenne, vivait sous une tente dans les bois. Recueillie pour ses talents en matière de travaux ménagers par la famille de Yuki Sôma, un de ses camarades de classe, Tohru vit maintenant entourée de garçons dans une grande maison. Mais ce qu'elle ignore, c'est que la famille Sôma est victime d'une malédiction secrète. Certains de ses membres se transforment, dans des circonstances particulières, en un des douzes animaux du zodiaque chinois ! Avec d'aussi étranges personnages, la nouvelle vie de Tohru va lui réserver de nombreuses surprises.


J’espère bien trouver un jour, un manga qui fera chavirer mon cœur. En tout cas une chose est sure, ce n’est pas celui-là. C’est le deuxième que je lis après Death Note. Je n’avais pas trouvé ce dernier très convaincant, mais à côté de Fruits Basket, c’était vraiment un chef-d’œuvre. Mais l’essentiel est de savoir ce qui rend ce manga tellement pénible à mes yeux. Accrochez-vous, il y a pas mal de point à aborder.

Premièrement, je n’ai absolument rien compris à l’histoire. J’ai vaguement saisie l’essentiel, mais je serais bien incapable de rentrer dans les détails. On passe sans arrêt du coq à l’âne et parfois les dialogues ne se suivent même pas. Alors c’est compliqué, quand en pleins milieux d’une conversation, on se retrouve dans un endroit différent avec des personnages différents. L’auteur ne nous a pas facilité la tâche.
Deuxièmement, deux des personnages principaux se ressemblent comme deux gouttes d’eau. Et les bulles ne sont pas clairement attribuées à un personnage. Du coup  quand une bulle se situe à égale distance de plusieurs personnages, on ne sait pas qui parle. Si en plus on n’arrive pas à différencier les personnages les uns des autres, je ne vous raconte même pas la galère. Je n’ai donc pas pris un grand plaisir durant cette lecture.
Troisièmement, et c’est un point qui m’a beaucoup agacé, l’auteure écrit environ toutes les 15 pages, un petit encadré qui raconte sa vie. Non seulement, ça n’a rien à voir avec le manga, mais en plus les informations qu’elle fournit sur sa vie sont inintéressantes au possible. Quel intérêt de savoir le nom qu’elle utilise quand elle joue aux jeux vidéo ou de savoir qu’elle aime jouer à Sakura. A la rigueur, si ces informations avaient été placé au début ou à la fin du manga, pourquoi pas. Et encore…
Et enfin, le dernier point négatif, mais pas des moindres : la crédibilité de l’histoire (zéro). Notre héroïne a rencontré les personnages de la famille Soma depuis 10 minutes et elle habite déjà chez eux.

Je crois que vous l’aurez compris, j’ai trouvé ce manga encore pire que Death Note. J’aimerai pouvoir vous parlez de points positifs qui ont retenus mon attention, mais j’ai bien peur qu’il n’y en ait aucun. Peut-être la couverture est à souligner. Mais c’est une bien maigre consolation quand tout le manga est aussi mauvais. Il va de soi que je ne lirais pas les tome suivants. 


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